L’ergonomie

Quand la posture fait mal

Par Paul Therrien

22 août 2023

Photo : Shutterstock

Que ce soit lors de nos activités quotidiennes, dans nos loisirs ou au travail, l’ergonomie a une grande importance. Afin de maximiser le bien-être et la productivité, l’activité qu’on effectue gagne à être sécuritaire et sans douleur. Au travail, c’est à l’employeur de mettre en place les conditions pour atteindre cet objectif, bien que les travailleuses et les travailleurs aient aussi leur rôle à jouer. Marie-Claude Duford et Pascal Rizzo, conseillers experts en prévention spécialisés en ergonomie à la CNESST, démystifient cette discipline visant à prévenir les douleurs et les blessures musculosquelettiques qui se produisent trop souvent en milieu de travail.

Poser les bons gestes et adopter les bonnes postures lorsqu’on manipule des objets ou qu’on effectue des tâches ne va pas toujours de soi. Ainsi, prendre le temps de planifier et d’organiser la manière de soulever et de déplacer un objet peut être la clé pour protéger son dos. En effet, il existe plusieurs manières de réduire les risques de se blesser ou de mettre de la pression indue sur ses articulations ou sur un groupe de muscles. Bien que chaque personne soit différente, des principes généraux de réduction du risque ergonomique (RE) peuvent être bénéfiques à l’ensemble des travailleuses et des travailleurs.

Au travail, l’intégration de considérations ergonomiques pour optimiser le contexte est encore plus importante puisque les gestes sont souvent répétés tous les jours, parfois plusieurs heures d’affilée. « Aussitôt qu’il y a une travailleuse ou un travailleur, il est souhaitable d’intégrer les notions d’ergonomie dès la conception des postes et des tâches. Certaines personnes ont de bons réflexes ergonomiques, ce qui n’empêche pas l’apparition d’inconforts et de fatigue », explique d’emblée Marie-Claude Duford. Ainsi, la présence de douleur serait l’indicateur le plus flagrant qu’il y a un problème lié à l’ergonomie. « C’est l’élément qui doit nous alerter instinctivement, affirme Pascal Rizzo. La présence de douleur ou d’inconfort au travail est un signe auquel il faut porter une attention particulière. »

Un peu d’histoire

Le mot ergonomie vient des mots grecs érgon (travail) et nόmos (loi) et signifie « science du travail ». Pratiquée depuis les années 1950, l’ergonomie est une discipline qui vise à étudier les conditions de travail, ainsi que les relations entre les personnes et les machines pour les améliorer. Son objectif ultime est d’élaborer et de mettre en place des systèmes pour favoriser des conditions d’efficacité, de sécurité et de confort optimal. Au Québec, l’ergonomie a connu un essor surtout à partir des années 1980, alors que des recherches sL’ergour les troubles musculosquelettiques (TMS) dans le secteur industriel ont été menées par l’Institut de recherche Robert-Sauvé en santé et sécurité au travail (IRSST). Depuis ce temps, l’ergonomie a évolué pour couvrir des notions plus « larges », intégrant des éléments de nombreuses disciplines comme la physiologie, la psychologie, la médecine, l’ingénierie et la sociologie.

Ainsi, on peut dire que l’ergonomie est une science appliquée à ce qu’il y a de plus réel et de concret, c’est-à-dire comprendre le travail pour le transformer. L’analyse du travail permet de mieux saisir la relation entre une personne et les actions qu’elle pose pour atteindre ses objectifs. C’est un champ d’études qui s’intéresse aux façons d’adapter le travail à la personne qui l’effectue, et non l’inverse. Les spécialistes de cette discipline visent à améliorer les conditions de travail des travailleuses et des travailleurs en passant par la prévention des blessures associées à des facteurs de risque, mais aussi à améliorer la performance globale des systèmes.

Entre 2017 et 2020, le nombre de lésions causées par les efforts excessif a augmenté de 112,4 %, selon les données de l’IRSST.

Des facteurs de risque omniprésents

C’est un phénomène qui est couramment observé par les chercheurs : les lacunes en matière d’ergonomie entraînent ultimement des risques de développer des TMS. L’ergonomie permet aussi de réduire d’autres risques, comme les chutes. En effet, lorsque l’organisation du travail crée une contrainte visuelle, suscite de l’encombrement et mène à l’adoption de postures asymétriques ou au déploiement d’un effort imprévu, le risque de chute augmente. Ces risques sont présents dans tous les milieux de travail, même dans un bureau où l’on adopte souvent une position statique et contraignante et où certains gestes effectués à répétition peuvent causer des lésions. En effet, le statisme est le plus important facteur de risque en ce qui concerne le travail de bureau. « Notre corps est conçu pour bouger!, dit sans détour Pascal Rizzo. Une posture assise prolongée représente un effort statique qui mène à une réduction de la circulation sanguine dans les muscles sollicités et augmente le risque de lésions. » De plus, comme l’explique Marie-Claude Duford, même assis à un bureau, on peut faire des mouvements répétitifs qui endommagent les tendons et les articulations. « Cela peut créer de l’usure, de l’inflammation, des tendinites ou des bursites », affirme-t-elle. Autrement dit, plus une posture est maintenue longtemps, plus on augmente le risque de développer des TMS. Et si, en plus, la posture assise implique des mouvements répétitifs, des tensions supplémentaires s’ajoutent et amplifient ce risque.

Les TMS, c’est quoi?

Les TMS désignent l’ensemble des blessures qui affectent les articulations, les muscles, les tendons, les ligaments, les cartilages et les nerfs. Ces pathologies sont les plus répandues chez les travailleuses et les travailleurs des pays industrialisés. Les blessures sont généralement causées par une trop grande sollicitation des tissus mous, lorsqu’une tâche dépasse la capacité de récupération naturelle du corps. Le plus souvent, les TMS se développent dans les membres supérieurs (mains, coudes, poignets, épaules) ainsi qu’à la colonne vertébrale.

Les TMS sont parfois complexes et peuvent nécessiter l’intervention de spécialistes en ergonomie qui agissent à titre de facilitateurs en amenant les divers acteurs dans le milieu de travail à collaborer à l’identification des risques et à l’implantation de changements durables dans les pratiques de travail.

Voici quelques types de TMS :

  • Mal de dos
  • Douleur aux épaules
  • Tendinite
  • Bursite
  • Entorse lombaire
  • Hernie discale

Il va de soi que le travail manuel, entre autres en usine ou sur les chantiers de construction, peut provoquer des blessures chez les travailleuses et les travailleurs. Dans ces milieux de travail, on effectue souvent des mouvements répétitifs et on fournit des efforts excessifs qui peuvent être combinés à d’autres facteurs. Il arrive aussi qu’on soit immobile durant de longues périodes. Un exemple commun est le fait de travailler en tenant une charge à bout de bras. Cette posture de travail n’est pas optimale, car elle soumet les articulations portantes à une compression élevée et les place à risque de blessures. Il importe de préciser que des travailleuses et des travailleurs peuvent être exposés à deux, voire trois facteurs de risque ergonomiques en même temps. Selon les spécialistes interviewés, ces facteurs de risque ne font pas que s’additionner : ils interagissent entre eux, ce qui multiplie leurs effets et peut faire augmenter le risque de blessures et la gravité de celles-ci.

Des lois à respecter

Puisque l’application des principes d’ergonomie au travail peut réduire le nombre de blessures et de problèmes de santé — tout en améliorant la productivité et la qualité du travail —, le Québec s’est doté de règlements et de lois pour la favoriser. En vertu de la Loi sur la santé et la sécurité du travail (LSST), les inspecteurs de la CNESST peuvent vérifier si les risques ergonomiques présents dans un milieu de travail font l’objet d’une gestion appropriée. En effet, l’article 51 de la LSST stipule que l’employeur doit prendre les mesures nécessaires pour protéger la santé et assurer la sécurité et l’intégrité physique et psychique du travailleur et mentionne différentes façons d’y parvenir. Ainsi, l’employeur a avantage à tenir compte de l’ergonomie dans l’organisation du travail, l’aménagement des lieux, le choix des outils, des procédés et des méthodes de travail ainsi que dans la formation sur les risques présents et la supervision des travailleuses et des travailleurs.

Le rôle des inspecteurs n’est pas de mettre en place des changements pour réduire les risques, mais plutôt de veiller à ce que l’employeur, en collaboration avec les travailleuses et les travailleurs, s’assure d’inclure les risques ergonomiques dans son programme de prévention. « Lorsqu’un contexte de travail n’est pas optimal, c’est souvent qu’il y a peu de considérations ergonomiques, ce qui peut avoir des conséquences sur la personne qui effectue les tâches », dit Marie-Claude Duford. Pascal Rizzo ajoute que « l’employeur ne fait que se conformer à la loi lorsqu’il effectue l’identification des risques ergonomiques et qu’il apporte les ajustements requis dans son lieu de travail; il ne fait pas une faveur aux travailleuses et aux travailleurs ».

Des activités risquées

Les TMS se développent souvent à la suite de manipulations de charges, de déplacements, de levage, de pose, de poussées et de tractions. Dans un bureau, la posture statique prolongée est le principal facteur de risque.

Le rôle de l’employeur dans la prise des risques ergonomiques

« La Loi modernisant le régime de santé et de sécurité du travail (LMRSST) prescrit que tous les chantiers de constructions occupant simultanément 10 travailleurs et plus doivent désormais identifier leurs risques ergonomiques et les inclure dans leur programme de prévention », précise Mme Duford. Elle ajoute aussi que tous les établissements ont actuellement l’obligation de procéder à l’identification de tous les types de risques présents dans le milieu, ce qui inclut les risques ergonomiques, et, le cas échéant, de les analyser.

Les risques ergonomiques devraient donc être déjà identifiés et, pour certains établissements ayant cette obligation, faire partie du programme de prévention. De plus, à l’entrée en vigueur des nouvelles dispositions législatives et réglementaires sur les mécanismes de prévention et de participation propres aux établissements, tous les établissements devront identifier leurs risques ergonomiques et les inclure dans leur programme de prévention.

La participation des travailleuses et des travailleurs à la démarche de prévention « identifier-corriger-contrôler » est l’une des conditions essentielles de la prise en charge efficace des risques ergonomiques. C’est une responsabilité partagée entre l’employeur et ses travailleuses et travailleurs. Le comité de santé et sécurité (CSS) participe aussi à cette démarche. En effectuant, par exemple, des tournées d’inspection périodiques et en étant à l’écoute des travailleuses et des travailleurs qui rapportent des situations à risque, le milieu se donne des outils pour identifier les risques ergonomiques.

Ensuite, plusieurs mesures de prévention peuvent être mises en place et elles peuvent être combinées pour atteindre une plus grande efficacité. Par exemple, le déploiement d’efforts excessifs est souvent le résultat de postes de travail mal conçus ou de l’usage d’outils et d’équipements inappropriés pour la tâche. « Ce n’est pas seulement la travailleuse ou le travailleur qui ne sait pas comment faire sa tâche de manière sécuritaire, dit Mme Duford. Il y a des éléments relatifs au travail qui peuvent être modifiés et qui sont sous la responsabilité de l’employeur. » L’aménagement des espaces de travail ainsi que le choix des outils doivent être adaptés à la tâche. Par exemple, on peut rapprocher les équipements de la travailleuse ou du travailleur ou lui offrir des ajustements multiples et simples d’utilisation. Finalement, le milieu de travail peut mettre en place des mesures de contrôle pour s’assurer que les mesures de prévention restent en place et demeurent efficaces. Par exemple, il peut mettre en place une politique d’achat assurant l’amélioration continue des équipements et un plan de formation continue.

Quant à l’inspecteur, s’il identifie des RE dans un milieu de travail, il veillera à soutenir le milieu et à le sensibiliser sur ces risques. En fin de compte, il revient à l’employeur d’assurer la prise en charge des risques ergonomiques, en collaboration avec les travailleuses et les travailleurs. « L’employeur doit être conscient que l’inspecteur ne fera pas ce travail à sa place », prévient Mme Duford. « Lorsqu’un de nos inspecteurs intervient dans un milieu de travail, il peut demander à voir le programme de prévention, ajoute M. Rizzo. S’il n’y trouve rien sur les risques ergonomiques, il peut s’interroger à savoir si l’exercice d’identification a été bien effectué par le comité de santé et sécurité. » Lors de sa visite, l’inspecteur peut identifier un risque ergonomique non contrôlé en observant les gens travailler et en analysant l’environnement de travail. Il veillera alors à sensibiliser l’employeur pour qu’il intègre ce risque ergonomique dans son programme de prévention. L’inspecteur pourra soutenir l’employeur dans ses démarches visant à réduire le risque. « On favorise d’abord la discussion entre l’inspecteur, l’employeur et le ou les représentants des travailleurs en mentionnant les risques observés afin de permettre une réflexion commune et de trouver des solutions simples et efficaces », dit M. Rizzo, qui donne l’exemple d’une situation observée chez des bouchers. « Quand j’étais inspecteur, j’ai constaté que les travailleuses et les travailleurs qui effectuaient des coupes sur des carcasses devaient répéter plusieurs fois les mêmes gestes afin de bien détacher la viande des os, explique l’expert. À long terme, cela pouvait causer de la fatigue, des tensions et des blessures. J’ai donc demandé à l’employeur si la technique de coupe était connue et maitrisée par les travailleuses et les travailleurs et si l’affûtage des couteaux était adéquat. Ce n’était pas le cas. Après avoir revu la formation et l’encadrement, les travailleuses et les travailleurs ont ressenti beaucoup moins de fatigue et d’inconfort durant la journée, et la productivité a même augmenté. »

Des signes évidents… ou plus subtils

On dit que prévenir est toujours mieux que guérir. Elle est bel et bien révolue l’époque où l’on attendait qu’un incident survienne en milieu de travail avant de se mobiliser pour éliminer les risques. « Lorsqu’on a des douleurs généralisées associées à une tâche ou à un poste en particulier, c’est qu’il est plus que temps de faire quelque chose, insiste Mme Duford. En effet, dans ces moments-là, on est en réaction plutôt qu’en prévention. Il faut trouver des solutions en amont. » Elle ajoute que les TMS sont des blessures qui ne se développent pas subitement, mais qui progressent plutôt de manière subtile et invisible, à long terme. « Il est important d’identifier les facteurs de risque ergonomiques en amont, comme le prévoit la loi », explique M. Rizzo. En outre, afin d’aider les employeurs à identifier les risques ergonomiques avant l’apparition de TMS, il est possible de recourir à l’expertise d’un ergonome ou d’un partenaire en prévention (associations sectorielles paritaires, centre patronal, associations syndicales).

Un programme d’achat d’équipements et d’outils, c’est important!

L’achat de meilleurs outils de travail est une manière efficace d’améliorer l’ergonomie et de prévenir les risques de blessures liées à l’usure. En Europe, les manufacturiers ont apporté des améliorations notables à leurs produits afin de minimiser les efforts physiques à fournir, par exemple ceux liés à l’impact des vibrations sur le corps.

Il faut toutefois rester vigilant lors de l’achat d’un nouvel équipement en vue de réduire les risques ergonomiques, avertit Mme Duford. « Certains des changements dits ergonomiques relèvent davantage du marketing. De plus, l’employeur doit s’assurer de former adéquatement son personnel à l’utilisation et à l’ajustement de ces équipements. Il doit aussi veiller à les inclure dans le programme d’entretien et de maintenance périodique de son établissement. »

Des efforts aux lourdes conséquences

Selon l’IRSST, en 2020, près de la moitié (48,7 %) des lésions de type TMS a été occasionnée par trois genres d’efforts :

• 22,5 % – Les efforts excessifs fournis en soulevant quelque chose
• 16,1 % – Les efforts excessifs fournis en tenant, en transportant, en tournant ou en brandissant des objets
• 10,1 % – Les autres réactions du corps et les autres efforts (coudes, poignets, épaules) ainsi qu’à la colonne vertébrale

Les TMS sont parfois complexes et peuvent nécessiter l’intervention de spécialistes en ergonomie qui agissent à titre de facilitateurs en amenant les divers acteurs dans le milieu de travail à collaborer à l’identification des risques et à l’implantation de changements durables dans les pratiques de travail.

L’ergonomie participative

L’implication de la travailleuse ou du travailleur est tout aussi essentielle que celle de l’employeur lorsqu’il s’agit d’instaurer des principes d’ergonomie au travail. En effet, c’est la personne qui effectue les tâches au quotidien, depuis des mois ou même des années, qui est la plus en mesure d’identifier le risque et de dire, par exemple, pourquoi elle adopte certaines postures contraignantes ou déploie des efforts excessifs dans certaines situations. « La participation des travailleuses et des travailleurs est nommée dans la loi. Ceux-ci ont l’obligation de participer à l’identification et à l’élimination des risques d’accidents et de maladies professionnelles sur le lieu de travail, et cela s’applique aussi au processus ergonomique, affirme Mme Duford. En effet, les spécialistes en ergonomie qui interviennent dans un milieu de travail doivent faire participer les travailleuses et les travailleurs. Ainsi, même si on leur donne le meilleur équipement possible pour travailler, peuvent-ils bien l’utiliser si le plancher est encombré? Il ne faut pas oublier que les travailleuses et les travailleurs effectuent leurs tâches en fonction du contexte ». En d’autres mots, ils apprennent souvent à vivre avec les contraintes qu’on leur impose. C’est pourquoi il importe de leur offrir la liberté de proposer différentes façons de travailler dans le but de répondre aux exigences de production, sans qu’il y ait d’effets défavorables sur leur santé. En outre, il est possible d’établir, avec l’aide de spécialistes en ergonomie, du CSS et de l’employeur, des façons de travailler qui ne sollicitent pas toujours les mêmes structures musculosquelettiques et qui ne mettent pas les travailleuses et les travailleurs à risque de développer des TMS.

Un compromis nécessaire

L’ergonomie, c’est aussi l’étude des systèmes de travail afin d’optimiser la santé et la sécurité de la travailleuse et du travailleur, tout en améliorant sa productivité à moyen et long terme. Le manque de considérations ergonomiques dans l’aménagement d’un poste de travail peut entraîner des conséquences néfastes sur la productivité, car la travailleuse ou le travailleur est susceptible de développer davantage de fatigue et d’inconfort au courant de la journée.

« À cause de la fatigue, on ralentit et on fait plus d’erreurs. En se préoccupant de la santé de la travailleuse ou du travailleur, on limite les douleurs, l’absentéisme et la formation de remplaçants. À moyen et long terme, faire des compromis pour effectuer des ajustements ergonomiques, c’est gagnant côté productivité », indique Marie-Claude Duford. « Toutefois, la première semaine après les changements, il est possible qu’il y ait une baisse de productivité, termine Pascal Rizzo. Mais une fois les changements bien implantés, la productivité retrouvera son rythme habituel, car la travailleuse ou le travailleur se sentira en sécurité et en contrôle. »

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